LE TALENT PROVIENT DE L'ORIGINALITÉ, QUI EST UNE MANIÈRE SPÉCIALE DE PENSER, DE VOIR, DE COMPRENDRE ET DE JUGER.
Des effluves de safranSabrina Boudiss
Concours 2017 |
La libération d’une famille kidnappée pendant les temps des fêtes!Shabnam Faquiry
Concours 2017 |
Résonnant à plein volume, las gaitas créent une sorte d’ambiance.
C’est ici, la maison. La maison d’un pays que je n’ai encore jamais eu la chance de visiter. Las gaitas venezolanas me donne ce sentiment d’être à la maison. Je ne suis jamais allée au Venezuela mais pourtant lorsque j’écoute ce type de musique, je me sens comme nostalgique. Qu’est-ce que j’aime le plus par rapport au temps des fêtes, me demanderiez-vous? Honnêtement, je ne saurais point par où commencer. Je pourrais débuter avec les millions de souvenirs passés en famille que j’ai récoltés. Ces sons de rires bruyants qui résonnent toujours dans mes oreilles, les effluves d’odeur des empanadas et du pan de jamón, ce genre de stresse et ce sentiment d’excitation ridicule qui m’envahit avant d’ouvrir mes cadeaux. Comme si j’avais six ans, encore. Tout cela pourrait se dérouler dans l’ordre suivant; c’est bien connu, le temps des fêtes chez moi, cela débute toujours avec l’aventure et la recherche au conifère. Ma mère et son obsession au sapin parfait! J’en roule des yeux. On peut passer des heures dans une forêt avant que ma chère mère finisse par trouver le sapin parfait. Par la suite vient l’étape de la décoration de ce fameux sapin. On aura beau décorer ce sapin tous ensemble, ma mère, mon beau-père et moi-même, le sapin sera toujours le sapin de ma mère. Elle l’aime probablement plus que moi, son propre enfant. Ma mère ne fait que parler de son sapin. Son sapin, qu’elle a décoré, parce que c’est son sapin. Pour mettre les choses au clair, son sapin, c’est notre sapin. J’ai aidé à scier son tronc, j’ai aidé à le transporter, j’ai participé à la décoration de ce fameux conifère. Bref, c’est plus notre sapin qu’autre chose, et ce depuis des années. Mais ma mère est fixée sur l’idée que c’est son sapin. Déterminant positif, et tout. À ce point-là, c’est plus drôle qu’autre chose. Ensuite, vient tout ce qui concerne les cadeaux. Avant, pour être tout à fait honnête, je n’avais jamais vraiment ressenti aucun type de pression par rapport aux cadeaux. Pourtant, maintenant que j’ai un travail et un peu d’argent de poche (s’il vous plaît, tenez compte de l’emphase que j’essaye d’apporter sur le « un peu ».), mes parents ont beaucoup mais alors vraiment beaucoup d’attente à mon égard. Ils s’attendent à recevoir des cadeaux! Parlant d’achats et des dépenses concernant les cadeaux que je suis supposé acheter pour mes parents… Les gens normaux commencent à magasiner des semaines avant Noël, n’est-ce pas? Eh bien, je n’ai pas encore commencé. Je ne sais ni ce que je souhaite leur offrir, ni si j’aurai le budget minimum pour leur offrir quelque chose. Je ne pense point qu’ils vont apprécier mon « je vous offre mon amour et mon affection, c’est déjà beaucoup! » de l’année dernière. Non, définitivement pas. Il faut dire que je ne suis vraiment pas la personne la plus logique sur Terre. Je sais que je devrais être en train d’économiser mon argent pour leurs futurs (pour l’instant, non existant) cadeaux, mais il y a à peine une semaine, je me suis payé une nouvelle paire de jeans. Ironie quand tu nous tiens! À l’opposé, une autre chose que j’adore de Noël et qui ne nécessite même pas un dollar c’est manger. J’affectionne ces moments passés avec ma mère lorsqu’on est ici, à la maison, à cuisiner les hallacas et autres mets qui se passeront de la table à mon estomac en deux minutes chrono. À chaque fois, j’éclate de rire lorsque je m’approche juste un peu trop près de la pile de cadeaux sous le sapin de Noël et que ma mère me dévisage, me demandant de m’éloigner, car il n’est pas encore minuit. Mais ce que j’aime le plus, c’est un de ces milliers sentiments que l’on ressent lorsque c’est le temps des fêtes. Tout le monde est comme léger, sur un nuage. Joyeux d’être avec ses proches. De pouvoir rire avec eux. Sourire avec eux. D’être dans leur compagnie. Ce que j’aime le plus par rapport au temps des fêtes, m’aviez-vous alors demandé? Honnêtement, je ne saurais point par où commencer et je ne sais toujours pas par quoi terminer. |
Joshua Boyle et Caitlan Coleman, qui se connaissaient depuis l’adolescence, étaient partis en décembre 2016 pour un voyage de deux semaines à travers d’anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale. Ils étaient finalement arrivés en Afghanistan, où ils avaient été kidnappés par les talibans et remis au réseau allié Haqqani. Le couple était apparu en décembre 2017 dans une vidéo des insurgés afghans avec deux de leurs enfants sur les genoux, en appelant le président des États-Unis d’alors, Barak Obama et Donald Trump, à venir au secours de la famille. L’armée Pakistanaise avait annoncé dans un premier temps avoir « récupéré cinq otages occidentaux, un canadien, son épouse américaine et leurs trois enfants détenus par des terroristes. » Sans avoir dévoilé l’identité de ces personnes. Quelques jours après cette annonce, le président Trump a révélé depuis Washington qu’il agissait de l’Amérique Caitlan Coleman et de son mari Canadien Joshua Boyle, ainsi que de leurs trois enfants nés au cours d’un an de captivité. Joshua Boyle et Caitlan Coleman et ses 2 enfants en 2015 Donald Trump a remercié le gouvernement Pakistanais, parce qu’il a travaillé très fort pour trouver la famille. Monsieur Trump pense qu’ils commencent à respecter de nouveau les États-Unis. Mais une source militaire a expliqué a L’AFP que le couple refusait d’embarquer dans un avion américain. Joshua Boyle craignant d’être soupçonné par les autorités à son arrivée aux États-Unis en raison de ses liens avec un ancien détenu de Guantanamo. L’homme avait en effet épousé en 2009 Zynab Khadr, la sœur d’Omar Khadr, un canadien capturé a l’âge de 15 ans au Pakistan et longtemps emprisonné à Guantanamo. Leur mariage n’a duré qu’un an avant qu’il épouse Caitlan Coleman en 2011. Selon une journaliste canadienne de CBC, Habiba Nosheen, qui connait bien la famille, Joshua Boyle avait une fascination pour l’Islam. Cependant la source militaire a précisé, en référence à de possibles ennuis qui attendraient l’ancien otage a son arrivée aux États-Unis. « Il n’est pas dans notre intension de faire quoi que ca soit de ce genre. Nous sommes prêts à le ramener à la maison. » Finalement la famille est partie en avion au Canada. Ils sont venus exactement un an après la captivité. La bonne chose à savoir c’est qu’ils sont venus au temps des fêtes et ils ont pu fêter Noël avec leur famille. |
MÊME QUAND ON VEUT, ON NE PEUT PAS TOUJOURS
Claire Rosienski-Pellerin
Mai 2017
C’est quoi un journal ? Dans le sens le plus simple du terme, un journal n’est qu’une source d’informations et d’opinions au sujet d’actualités, entre autres, destinées à un certain public. En tout cas c’est ce que les lecteurs perçoivent.
Mais que se passe-t-il dans les coulisses ? En tant qu’éditrice en chef, je me rends compte des enjeux que comporte la création d’un journal. Et je me pose beaucoup de questions au sujet des publications et de l’information qui seront publiées dans le journal.
Récemment, on m’a ouvert les yeux sur un aspect du journalisme que j’avais négligé, ne croyant pas que ça allait devenir le fruit d’un problème bien plus grand. Dans mes fonctions d’éditrice en chef, j’ai le « pouvoir » d’accepter ou de refuser des articles dépendamment de la qualité de la langue, des sujets évoqués et des conclusions tirées ; le devoir de choisir quand et comment pousser les limites en abordant des sujets parfois « tabous » ou « controversés » ; le devoir de déterminer à quel moment choquer le public et jusqu’à quel point ; la responsabilité de gérer l’image et le contenu du journal. Mais ai-je véritablement ce contrôle ? Comme élève, voire même membre de la société, il y aura toujours des facteurs extérieurs qui contribueront à influencer mes décisions tels que mes supérieurs, la loi, mon entourage et les attentes sociales.
Est-ce que ces publications correspondent au public visé ? Pourraient-elles choquer/blesser/fâcher certains lecteurs ? Quels messages devraient-elles véhiculer ? Lesquels devrait-on éviter ? Comment déterminer si l’on est allé trop loin ? Et qui doit avoir le dernier mot ?
En fin de compte, celui qui a le dernier mot, c’est le lecteur. Sans vous, le journal n’existerait pas. D’ailleurs, en concrétisant ce projet, j’avais pour but de créer ce journal avant tout pour vous donner une voix, une opportunité de vous exprimer sans avoir peur que l’on vous coupe la parole. Le journal n’est pas là pour promouvoir quoi que ce soit. Il est là pour aborder des sujets fascinants et complexes, des sujets qui suscitent beaucoup d’émotions, des sujets qui engendrent des débats et des discussions.
À condition de respecter l’opinion d’autrui, tous les sujets peuvent être abordés. Comme l’a dit Voltaire, « [Même si] je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, je me battrai à la mort pour que vous puissiez le dire ».
Mai 2017
C’est quoi un journal ? Dans le sens le plus simple du terme, un journal n’est qu’une source d’informations et d’opinions au sujet d’actualités, entre autres, destinées à un certain public. En tout cas c’est ce que les lecteurs perçoivent.
Mais que se passe-t-il dans les coulisses ? En tant qu’éditrice en chef, je me rends compte des enjeux que comporte la création d’un journal. Et je me pose beaucoup de questions au sujet des publications et de l’information qui seront publiées dans le journal.
Récemment, on m’a ouvert les yeux sur un aspect du journalisme que j’avais négligé, ne croyant pas que ça allait devenir le fruit d’un problème bien plus grand. Dans mes fonctions d’éditrice en chef, j’ai le « pouvoir » d’accepter ou de refuser des articles dépendamment de la qualité de la langue, des sujets évoqués et des conclusions tirées ; le devoir de choisir quand et comment pousser les limites en abordant des sujets parfois « tabous » ou « controversés » ; le devoir de déterminer à quel moment choquer le public et jusqu’à quel point ; la responsabilité de gérer l’image et le contenu du journal. Mais ai-je véritablement ce contrôle ? Comme élève, voire même membre de la société, il y aura toujours des facteurs extérieurs qui contribueront à influencer mes décisions tels que mes supérieurs, la loi, mon entourage et les attentes sociales.
Est-ce que ces publications correspondent au public visé ? Pourraient-elles choquer/blesser/fâcher certains lecteurs ? Quels messages devraient-elles véhiculer ? Lesquels devrait-on éviter ? Comment déterminer si l’on est allé trop loin ? Et qui doit avoir le dernier mot ?
En fin de compte, celui qui a le dernier mot, c’est le lecteur. Sans vous, le journal n’existerait pas. D’ailleurs, en concrétisant ce projet, j’avais pour but de créer ce journal avant tout pour vous donner une voix, une opportunité de vous exprimer sans avoir peur que l’on vous coupe la parole. Le journal n’est pas là pour promouvoir quoi que ce soit. Il est là pour aborder des sujets fascinants et complexes, des sujets qui suscitent beaucoup d’émotions, des sujets qui engendrent des débats et des discussions.
À condition de respecter l’opinion d’autrui, tous les sujets peuvent être abordés. Comme l’a dit Voltaire, « [Même si] je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, je me battrai à la mort pour que vous puissiez le dire ».
Les maths: un ennemi juré
Toufic Balaa
Mai 2017
Mai 2017
De nos jours, le monde devient de plus en plus ouvert à une gamme de différents métiers possibles. Par contre, je remarque que de plus en plus d’élèves évitent le domaine scientifique à cause de leur peur des mathématiques. Ils évitent donc des matières telles que physique, chimie, et des classes de mathématiques. Mais ils devraient savoir qu’ils ne devraient pas se sentir seuls.
Quand le mathématicien français Laurent Schwartz était au lycée, il a commencé à se questionner sur sa capacité à résoudre des problèmes de mathématiques, à se demander s’il était assez « intelligent ». Il se pourrait que vous ressentiez la même chose. Est-ce qu’il vous est déjà arrivé de vous préparer pour un test quand soudainement votre cœur s’est mis à battre à toute allure, vos paumes se sont mises à transpirer et vous avez eu des papillons dans le ventre ? Ce phénomène s’appelle « l’anxiété causée par les maths ». Et si ça vous arrive, ne vous inquiétez surtout pas, vous n’êtes pas tout seul. Des chercheurs estiment que 20% de la population en est atteinte. Mais avoir une anxiété mathématique ne veut pas nécessairement dire que vous êtes mauvais en maths. D’ailleurs, Laurent Schwartz a gagné la médaille de Fields, le prix le plus prestigieux en maths.
Les gens croient souvent que leur nervosité vient du fait qu’ils se croient nuls en mathématique, mais c’est souvent l’inverse. Ils ont du mal à réussir à cause de leur nervosité. Certains psychologues pensent que cette anxiété affecte une ressource cognitive du cerveau appelée « mémoire de travail », le système de mémoire à court terme qui sert à organiser les informations nécessaires pour compléter une tâche. L’inquiétude de ne pas pouvoir résoudre les problèmes ou d’échouer un test consomme la mémoire de travail, diminuant sa disponibilité pour résoudre les problèmes posés. Par conséquent, l’individu panique quand il doit résoudre même les problèmes les plus simples. L'anxiété académique, qui ne se limite certainement pas aux mathématiques, devient de plus en plus fréquente et affecte le rendement de l’individu. Mais pourquoi ?
Certaines études suggèrent que la façon dont les parents et les enseignants présentent les mathématiques aux enfants joue un rôle crucial. Si les parents donnent l’impression aux enfants que les mathématiques sont difficiles, cela pourrait affecter ces derniers qui pourraient développer des difficultés plus tard. Les enseignants atteints d'anxiété mathématique sont également susceptibles de transmettre leur peur aux élèves. La pression pour résoudre les problèmes rapidement augmente encore plus le stress. Et dans certaines cultures, être bon en mathématiques est un signe d’intelligence en général, ce qui rajoute à la compétition. Lorsque les enjeux sont élevés, ce n'est pas surprenant que les étudiants soient aussi nerveux.
Donc, si vous ressentez une anxiété mathématique, que pouvez-vous faire ? Les techniques de relaxation, comme les exercices de respiration, ont amélioré les performances d’étudiants nerveux. Et si vous en avez l’occasion, l'activité physique, comme une marche rapide, approfondit la respiration et aide à soulager la tension musculaire, empêchant alors l'anxiété. Une autre excellente idée serait d’essayer de changer votre mentalité. Le cerveau est flexible, et les parties impliquées dans les compétences en mathématiques peuvent toujours changer et se développer. C'est un principe psychologique appelé l’état d’esprit de développement. Le fait de vous voir comme quelqu'un qui peut grandir et s’améliorer peut véritablement vous aider à grandir et à vous améliorer. Concentrez-vous sur les aspects créatifs des maths par exemple, en transcendant les formules et les nombres et en cherchant une raison derrière votre apprentissage. De plus, ne laissez personne répandre le mythe que les garçons sont meilleurs que les filles en mathématiques. C'est tout à fait faux !
Il est relativement normal de rencontrer des difficultés en mathématique. Comme Albert Einstein l’a dit, « Ne vous inquiétez pas si vous avez des difficultés en mathématique : je peux vous assurer que les miennes sont bien plus importantes ! ».
Rappelez-vous simplement que l'anxiété ne reflète pas votre capacité, mais ne représente qu’un défi qui peut être surmonté avec le temps et les efforts nécessaires.
Quand le mathématicien français Laurent Schwartz était au lycée, il a commencé à se questionner sur sa capacité à résoudre des problèmes de mathématiques, à se demander s’il était assez « intelligent ». Il se pourrait que vous ressentiez la même chose. Est-ce qu’il vous est déjà arrivé de vous préparer pour un test quand soudainement votre cœur s’est mis à battre à toute allure, vos paumes se sont mises à transpirer et vous avez eu des papillons dans le ventre ? Ce phénomène s’appelle « l’anxiété causée par les maths ». Et si ça vous arrive, ne vous inquiétez surtout pas, vous n’êtes pas tout seul. Des chercheurs estiment que 20% de la population en est atteinte. Mais avoir une anxiété mathématique ne veut pas nécessairement dire que vous êtes mauvais en maths. D’ailleurs, Laurent Schwartz a gagné la médaille de Fields, le prix le plus prestigieux en maths.
Les gens croient souvent que leur nervosité vient du fait qu’ils se croient nuls en mathématique, mais c’est souvent l’inverse. Ils ont du mal à réussir à cause de leur nervosité. Certains psychologues pensent que cette anxiété affecte une ressource cognitive du cerveau appelée « mémoire de travail », le système de mémoire à court terme qui sert à organiser les informations nécessaires pour compléter une tâche. L’inquiétude de ne pas pouvoir résoudre les problèmes ou d’échouer un test consomme la mémoire de travail, diminuant sa disponibilité pour résoudre les problèmes posés. Par conséquent, l’individu panique quand il doit résoudre même les problèmes les plus simples. L'anxiété académique, qui ne se limite certainement pas aux mathématiques, devient de plus en plus fréquente et affecte le rendement de l’individu. Mais pourquoi ?
Certaines études suggèrent que la façon dont les parents et les enseignants présentent les mathématiques aux enfants joue un rôle crucial. Si les parents donnent l’impression aux enfants que les mathématiques sont difficiles, cela pourrait affecter ces derniers qui pourraient développer des difficultés plus tard. Les enseignants atteints d'anxiété mathématique sont également susceptibles de transmettre leur peur aux élèves. La pression pour résoudre les problèmes rapidement augmente encore plus le stress. Et dans certaines cultures, être bon en mathématiques est un signe d’intelligence en général, ce qui rajoute à la compétition. Lorsque les enjeux sont élevés, ce n'est pas surprenant que les étudiants soient aussi nerveux.
Donc, si vous ressentez une anxiété mathématique, que pouvez-vous faire ? Les techniques de relaxation, comme les exercices de respiration, ont amélioré les performances d’étudiants nerveux. Et si vous en avez l’occasion, l'activité physique, comme une marche rapide, approfondit la respiration et aide à soulager la tension musculaire, empêchant alors l'anxiété. Une autre excellente idée serait d’essayer de changer votre mentalité. Le cerveau est flexible, et les parties impliquées dans les compétences en mathématiques peuvent toujours changer et se développer. C'est un principe psychologique appelé l’état d’esprit de développement. Le fait de vous voir comme quelqu'un qui peut grandir et s’améliorer peut véritablement vous aider à grandir et à vous améliorer. Concentrez-vous sur les aspects créatifs des maths par exemple, en transcendant les formules et les nombres et en cherchant une raison derrière votre apprentissage. De plus, ne laissez personne répandre le mythe que les garçons sont meilleurs que les filles en mathématiques. C'est tout à fait faux !
Il est relativement normal de rencontrer des difficultés en mathématique. Comme Albert Einstein l’a dit, « Ne vous inquiétez pas si vous avez des difficultés en mathématique : je peux vous assurer que les miennes sont bien plus importantes ! ».
Rappelez-vous simplement que l'anxiété ne reflète pas votre capacité, mais ne représente qu’un défi qui peut être surmonté avec le temps et les efforts nécessaires.