LA SAISON DE BASKETBALL DU CF
Olivier Dundas
Janvier 2019
Janvier 2019
L’année passé, l’équipe de basket du Collège français jouait dans la ligue du TDSB (Toronto District School Board). Cette année, ils ont été expulsés. C’est-à-dire qu’ils ne jouent pas dans une ligue, mais participent toujours à des tournois. Le 14 novembre, ils ont participé à un tournoi à l’école Jeunes Sans Frontières (JSF), où ils ont joué trois matchs avec deux victoires et une défaite en finale.
Le premier match s’est terminé avec un pointage de 61-48 en faveur du Collège français. L’équipe est composée de 13 joueurs et chacun a participé et contribué à la première victoire de l’équipe. Ensuite, ils ont gagné leur deuxième match en annihilant leur adversaire, 74-34. Malheureusement pour eux, ils ont perdu en finale contre l’équipe de Jeunes Sans Frontières. JSF avait un avantage de 17 points avant le début du troisième quart mais en seulement quatre minutes, le CF a pu se rattrapper et égaliser le match avant que le quatrième quart commence. Par contre, en seulement quelques minutes, les Cougars de JSF ont pu à nouveau reprendre l’avantage et l’ont écarté jusqu’à 17. Ils ont battu le Collège français, 82 à 65.
Après cette défaite en finale, les joueurs du Cf étaient très excités pour leur prochain tournoi, qui allait à nouveau être à Jeunes Sans Frontières, le 23 novembre. Malgré leur anticipation de leur prochain tournoi, ils ont moins réussi que le dernier. Ils sont arrivés en retard pour leur premier match, ce qui a décalé leur horaire de jeu et par conséquent, l’horaire a été changé et ils ont dû jouer trois matchs de suite. Ils ont facilement gagné le premier match, 75-55, mais la fatigue s’est installée chez les joueurs, ce qui a résulté en des défaites de 71-34 et 68-51.
À date, l’équipe de basket du CF a un record de 3-3 en 6 matchs de tournoi joués. Leur prochain match sera contre Jarvis Collegiate, et la date n’est pas encore déterminée.
Est-ce une saison spéciale pour les Raptors ?
Akram Abdi
Janvier 2019
Janvier 2019
Après avoir gagné un match difficile contre les Wizards de Washington, les Raptors de Toronto ont présentement le meilleur record dans la ligue avec 33 matchs gagnés et 12 matchs perdus. L’équipe a l’air d’être en forme à la mi-saison malgré l’absence d’importants joueurs comme Kyle Lowry et Jonas Valanciunas dû à des blessures. C’est grâce à la nouvelle étoile de l’équipe, Kawhi Leonard, que les Raptors ont pu remporter la victoire contre Washington. Leonard a marqué plusieurs points décisifs dans les dernières minutes du temps régulier et du temps supplémentaire, menant ainsi son équipe à la victoire.
Cependant, la majorité des supporteurs de l’équipe sont un peu sceptiques d’une victoire finale. Après avoir gagné 59 matchs et resté à la première place dans la conférence de l’est la saison précédente, les Raptors ont quand même perdu contre les Cavaliers de Cleveland pour une troisième saison de suite dans une série éliminatoire (cette fois-ci en ne gagnant aucun match).
C’est cette défaite embarrassante qui a persuadé le directeur général de l’organisation, Masai Ujiri, de faire des grands changements avant le début de la saison. Le premier changement était de demander la démission de l’entraineur Dwane Casey, qui est resté avec l’équipe pour plusieurs années et qui était aimé par presque tout le monde dans l’organisation. Ujiri a ensuite engagé l'entraîneur adjoint, Nick Nurse, comme entraîneur principal. Après avoir fait ce changement qui n’a pas été très bien accueilli par certains supporteurs, Ujiri est ensuite passé à l'échange de DeMar Derozan, (qui est sans doute le plus grand joueur de l’histoire des Raptors) pour Kawhi Leonard (un des meilleurs joueurs dans la ligue). Kawhi était mécontent avec son équipe, les Spurs de San Antonio, et ne voulait plus jouer pour eux. C'est Leonard qui a mené les Raptors avec 41 points en route vers la victoire en temps supplémentaire contre les Wizards.
Sous l'entraînement de Nick Nurse et l'excellent jeu de Leonard, les Raptors se sont réinventés cette saison. L’entraineur Nurse a changé les rôles de plusieurs joueurs comme Serge Ibaka. Ibaka joue le rôle de centre cette année, pour la première fois dans sa carrière.
En outre, Lebron James a changé d’équipe cette année et joue maintenant pour les Lakers de Los Angeles, ce qui veut dire que les Raptors ne pourront l’affronter que dans les finales. Ceci est une bonne nouvelle pour l’équipe, car c’est James qui a éliminé les Raptors les trois dernières saisons. Le but de Raptors cette saison est de non seulement gagner quelques séries éliminatoires, mais d’être couronnés comme champions de la ligue en juin.
la saison de basket du phoenix du cf
Olivier Dundas
Avril/Mai 2018
Avant le début de la saison de basket 2017-18, les espoirs de l’équipe du Collège français étaient hauts. Ils croyaient avoir créé une équipe qui ira aux séries éliminatoires, mais en fin de compte ce n’était pas le cas. Le premier match, le mardi 5 décembre 2017 contre Malvern, n’était pas un bon début pour la saison, ils ont perdu 49-40. Ils ont gagné leur prochain match contre Rosedale, 91-67, mais ont perdu les cinq prochains matchs et ont fini par manquer les séries éliminatoires.
Ce qui manquait le premier match pour le Cf était un équilibre d’offense et de défense, ils n’ont marqué que 40 points, mais leur défense a limité Malvern à 49 points. Leur prochain match était leur meilleur match offensif de l’année avec un total de 91 points, plus que le double de leurs points marqués le match précédent. Richard Da Costa a joué son meilleur match de l’année en marquant 26 points avec cinq lancées de trois points. Le prochain match était le plus déchirant et fut un point tournant négatif dans la saison. Ils ont affronté les Cougars de Marc Garneau, la meilleure équipe de leur division. Le match était très serré au cours des quatre quarts, mais les Cougars ont remporté le match 49-46. Le Phoenix menait 46-43 avec 45 secondes restantes et Da Costa est allé faire deux lancés francs.
À date, Da Costa avait un pourcentage de lancer franc de 100%, mais a manqué les deux lancées. Les Cougars ont fini par marquer six points de suite en 35 secondes. Donc, pour essayer d’égaliser le match, les Phoenix ont choisi Richard, leur lanceur le plus efficace, pour faire le dernier lancer. Il a malheureusement manqué le lancer et le Cf a perdu. À la suite du match, il y a eu beaucoup d’arguments entre joueurs et leur esprit d’équipe a été endommagé. Par la suite, ils ont perdu les quatre prochains matchs par une moyenne de 13,5 points et ont fini avec un record de saison d’une victoire et de six défaites.
C’est évident que la saison de basket du Cf n’a pas répondu aux attentes et a été décevante pour les joueurs. Leur saison aurait probablement été très différente s’ils ont gagné leur match contre Marc Garneau, mais la frustration de ce match a démoralisé l’esprit de l’équipe et a fait chuter le succès de leur saison. C’était non seulement ce match contre Marc Garneau, mais aussi les blessures, le manque de rotation de joueurs qui participaient aux matchs et leur incapacité de rentrer leurs lancers francs (le pourcentage d’équipe était 45%) qui a nui au succès de l’équipe.
Donc ce que le Phoenix cherche à améliorer pour l’année prochaine est leur capacité de mieux tirer, leur esprit d’équipe et le nombre de joueurs dans la rotation d’équipe pour donner plus de repos aux autres joueurs. S’ils finissent par assembler toutes ces caractéristiques d’équipe, ils auront une bonne chance d’aller aux séries éliminatoires l’année prochaine.
Avril/Mai 2018
Avant le début de la saison de basket 2017-18, les espoirs de l’équipe du Collège français étaient hauts. Ils croyaient avoir créé une équipe qui ira aux séries éliminatoires, mais en fin de compte ce n’était pas le cas. Le premier match, le mardi 5 décembre 2017 contre Malvern, n’était pas un bon début pour la saison, ils ont perdu 49-40. Ils ont gagné leur prochain match contre Rosedale, 91-67, mais ont perdu les cinq prochains matchs et ont fini par manquer les séries éliminatoires.
Ce qui manquait le premier match pour le Cf était un équilibre d’offense et de défense, ils n’ont marqué que 40 points, mais leur défense a limité Malvern à 49 points. Leur prochain match était leur meilleur match offensif de l’année avec un total de 91 points, plus que le double de leurs points marqués le match précédent. Richard Da Costa a joué son meilleur match de l’année en marquant 26 points avec cinq lancées de trois points. Le prochain match était le plus déchirant et fut un point tournant négatif dans la saison. Ils ont affronté les Cougars de Marc Garneau, la meilleure équipe de leur division. Le match était très serré au cours des quatre quarts, mais les Cougars ont remporté le match 49-46. Le Phoenix menait 46-43 avec 45 secondes restantes et Da Costa est allé faire deux lancés francs.
À date, Da Costa avait un pourcentage de lancer franc de 100%, mais a manqué les deux lancées. Les Cougars ont fini par marquer six points de suite en 35 secondes. Donc, pour essayer d’égaliser le match, les Phoenix ont choisi Richard, leur lanceur le plus efficace, pour faire le dernier lancer. Il a malheureusement manqué le lancer et le Cf a perdu. À la suite du match, il y a eu beaucoup d’arguments entre joueurs et leur esprit d’équipe a été endommagé. Par la suite, ils ont perdu les quatre prochains matchs par une moyenne de 13,5 points et ont fini avec un record de saison d’une victoire et de six défaites.
C’est évident que la saison de basket du Cf n’a pas répondu aux attentes et a été décevante pour les joueurs. Leur saison aurait probablement été très différente s’ils ont gagné leur match contre Marc Garneau, mais la frustration de ce match a démoralisé l’esprit de l’équipe et a fait chuter le succès de leur saison. C’était non seulement ce match contre Marc Garneau, mais aussi les blessures, le manque de rotation de joueurs qui participaient aux matchs et leur incapacité de rentrer leurs lancers francs (le pourcentage d’équipe était 45%) qui a nui au succès de l’équipe.
Donc ce que le Phoenix cherche à améliorer pour l’année prochaine est leur capacité de mieux tirer, leur esprit d’équipe et le nombre de joueurs dans la rotation d’équipe pour donner plus de repos aux autres joueurs. S’ils finissent par assembler toutes ces caractéristiques d’équipe, ils auront une bonne chance d’aller aux séries éliminatoires l’année prochaine.
Le nouveau système offensif des Raptors : plan de succès ou d'échec?
Akram Abdi
Nov-Déc 2017
Nov-Déc 2017
Les Raptors de Toronto avaient l’air d’avoir une chance de rendre la série éliminatoire intéressante contre les Cavaliers de Cleveland. Même si la plupart des amateurs de basketball savaient que Cleveland allait gagner, plusieurs croyaient que l’équipe de Toronto (qui a fini la saison régulière avec 51 victoires et 31 défaites) allait peut-être gagner un ou deux matchs du meilleur des sept séries éliminatoires. Mais, les Raptors ont perdu tous les matchs de la série éliminatoire. Ils n’avaient pas l’air d’une équipe unie et certains se posaient des questions sur l’avenir du club, des joueurs et des directeurs (dont l’entraineur de l’équipe Dwayne Casey).
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À la dernière conférence de presse de la saison, le président du club Masai Ujiri a promis que le club subirait un « changement culturel ». Ujiri a déclaré que les entraineurs des Raptors changeront leur façon de joueur offensivement.
Dans la saison de 2016-2017, les Raptors ont été placés en 22ième place dans la ligue en tirs de trois points tentés et en dernière place dans la ligue de passes décisives. L’offensive de Toronto dépendait des paniers individuels marqués par Derozan et Lowry. Cette stratégie a été très efficace dans la saison régulière. Cependant, quand les Raptors ont joué dans les séries éliminatoires, leurs adversaires se concentraient seulement sur les deux étoiles de l’équipe, ce qui a limité l’offensive de l’équipe. Le président du club savait que ce système offensif n’allait pas fonctionner pour longtemps. Il a alors demandé aux entraineurs de l’équipe de changer leur système offensif afin de promouvoir davantage les tirs de trois points ainsi que les passes entre coéquipiers.
À présent, ceci semble bien marcher. Les Raptors de Toronto ont 12 victoires et sept défaites. Par contre, on peut débattre que Toronto aurait pu quand même gagner quelques-uns de ces matchs, comme ceux contre Boston et San Antonio. Les Raptors sont présentement au sixième rang pour les tirs de 3 points tentés et au neuvième rang pour les passes décisives (une amélioration de l’année précédente). Ujiri espère que ce système offensif rendra l’équipe plus imprévisible et plus difficile à défendre dans les séries éliminatoires. Espérons que le plan du président du club fonctionnera!
Dans la saison de 2016-2017, les Raptors ont été placés en 22ième place dans la ligue en tirs de trois points tentés et en dernière place dans la ligue de passes décisives. L’offensive de Toronto dépendait des paniers individuels marqués par Derozan et Lowry. Cette stratégie a été très efficace dans la saison régulière. Cependant, quand les Raptors ont joué dans les séries éliminatoires, leurs adversaires se concentraient seulement sur les deux étoiles de l’équipe, ce qui a limité l’offensive de l’équipe. Le président du club savait que ce système offensif n’allait pas fonctionner pour longtemps. Il a alors demandé aux entraineurs de l’équipe de changer leur système offensif afin de promouvoir davantage les tirs de trois points ainsi que les passes entre coéquipiers.
À présent, ceci semble bien marcher. Les Raptors de Toronto ont 12 victoires et sept défaites. Par contre, on peut débattre que Toronto aurait pu quand même gagner quelques-uns de ces matchs, comme ceux contre Boston et San Antonio. Les Raptors sont présentement au sixième rang pour les tirs de 3 points tentés et au neuvième rang pour les passes décisives (une amélioration de l’année précédente). Ujiri espère que ce système offensif rendra l’équipe plus imprévisible et plus difficile à défendre dans les séries éliminatoires. Espérons que le plan du président du club fonctionnera!
LES PHOENIX DU CF CONTRE LES CORBEAUX DE ROSEDALE
Olivier Dundas
Nov-Déc 2017
Nov-Déc 2017
Le jeudi 7 décembre 2017 l’équipe de basketball du Collège français, les Phoenix, a affronté les Corbeaux de Rosedale dans un match de basketball au gymnase de l’école secondaire Rosedale Heights School of the Arts ou RHSA. Le Collège français a gagné le match avec un score final de 91 à 67 points.
Deux jours avant le match, les Phoenix avaient affronté l’équipe de l’école secondaire Malvern Collegiate Institute et avaient subi une défaite avec un score final de 49 à 40 points. Ce qui avait négativement affecté l’offensive des Phoenix lors de ce match était leurs tirs inefficaces, ce qui explique pourquoi ils n’ont marqué que 40 points. Après le match à Malvern, les joueurs étaient très frustrés. Boubacar Diallo (élève de 11e) avait le plus haut pointage de l’équipe (lors de ce match il a marqué 10 points). Mais 40 points de marqués dans un match n’ont pas suffi pour les Phoenix. Ils voulaient surmonter leur défaite et améliorer leur technique pour le prochain match. « Je pense que c’était un match difficile et beaucoup de choses ont mal tourné. Nous avons eu du mal à marquer pendant le match entier. Nous devons juste oublier ce match et s’améliorer contre Rosedale », a dit Colin Lafaury. Et c’est exactement ce qu’ils ont fait. 10 des 11 joueurs ont marqué au moins un panier et trois d’entre eux ont marqué 10 points ou plus. C'est Richard Da Costa qui a marqué le plus de points pour le Collège français; il a fait 26 points, cinq rebonds et quatre passes décisives. Non seulement que les Phoenix ont bien joué à l’offensive, mais ils ont aussi bien défendu leur panier. Ils ont forcé le meneur et l’arrière de l’équipe adverse vers l’extérieur, ce qui les forçait à tirer en dehors de la ligne de trois points. Le plus grand problème auquel les Phoenix ont dû faire face en défense c’est d’arrêter les ailiers forts et les pivots adverses. Contre les Corbeaux, ils ont beaucoup lutté quand il s'agissait de défendre leurs pivots et leurs ailiers forts, car ils se forçaient vers le panier et ils ne pouvaient pas les arrêter.
En somme, l’équipe a joué un match principalement sain, avec beaucoup de passes et une forte défense. Ils ont fait 12 passes décisives qui ont mené à 72 points. Dans le futur, les Phoenix devront améliorer leur efficacité de lancers francs. Ils n’ont marqué que 19 paniers parmi leurs 31 tentatives, ce qui est seulement 61%. Ils devront aussi mieux défendre les pivots et les ailiers forts de leurs adversaires. Le Collège jouera son prochain match le mardi 12 décembre contre l’école secondaire Marc Garneau.
On peut dire que la saison régulière de l’équipe de soccer Toronto FC a été un succès. L’équipe est celle qui a gagné le plus de matchs parmi toutes les équipes de la ligue (20 matchs gagnés). Elle a remporté le championnat canadien et a battu le record pour le plus de points en une saison. Avec un total de 69 points, 20 victoires, cinq défaites et neuf matchs à égalité, le Toronto FC a dépassé l’équipe des Galaxie de Los Angeles de 1998 qui, avec 68 points, était devenue la meilleure équipe de la saison régulière dans l’histoire du MLS.
Le succès du Toronto FC provient des nombreuses contributions de tous les joueurs de l’équipe. Au début de la saison, l’entraineur, Greg Vanney, a dit que TFC avait la meilleure séléction de joueurs remplaçants dans l’histoire de la ligue : avec des joueurs comme Tosaint Ricketts, Armando Cooper et Raheem Edward, il est difficile de le contredire.
Un autre facteur du succès de TFC est les acquisitions de nouveaux joueurs. Après avoir perdu dans la finale de la coupe MLS, l’équipe a ajouté des joueurs influents qui l’a menée plus près d’une victoire dans la compétition : Chris Mavinga, Nicolas Hasler et Victor Vasquez ont été essentiels à l’amélioration de l’équipe cette année. Chris Mavinga était un défenseur précieux venu du club russe Rubin Kazan et qui a remarquablement remplacé le défenseur blessé, Nick Hagglund. Comme Mavinga, Nico Hasler est venu du club Vaduz FC du Liechtenstein pour remplacer l’arrière droit, Steven Beitashour, qui, lui, avait une blessure au pancréas. Victor Vasquez n’est pas que la meilleure acquisition de la saison pour TFC, mais la meilleure acquisition de la saison. Avec huit buts et 16 passes décisives, il est l’une des raisons pour lesquelles le Toronto FC est aujourd’hui la meilleure équipe de la ligue.
Bref, il y a quelques années, le Toronto FC a fini en dernière place et son destin ne semblait pas très prometteur. Cependant, grâce au plan des propriétaires de l’équipe, le succès du club est si étonnant que même les plus grands fans du club n’aurait pas pu prédire son progrès incroyable. C’est grâce aux acquisitions bien calculées de joueurs modèles comme le capitaine Michael Bradley, le duo attaquant de Jozy Altidore et Sebastien Giovinco que le Toronto FC est un des clubs exemplaires. Le TFC est un exemple parfait des avantages de concevoir un plan à long terme. Par contre, pour que cette équipe soit inscrite dans la mémoire de tous les amateurs du MLS, elle doit gagner la coupe MLS. Ésperons que le TFC réussira dans sa poursuite de la gloire cet automne!
Nouveau grand trio du basket de Oklahoma : l’analyse de l’échange de Carmelo Anthon
Akram Abdi
Septembre 2017
Septembre 2017
L’échange de joueurs entre l’équipe de basketball des Knicks de New York et l’équipe d’Oklahoma city Thunder a fait de l’été 2017 l’un des meilleurs étés pour les échanges de joueurs. De grandes étoiles de la ligue ont changé d’équipe; Jimmy Butler est à présent au Minnesota), Kyrie Irving et Isaiah Thomas se retrouvent dans différentes équipes (Boston et Cleveland) et Markelle Fultz, le premier choix du repêchage 2017, est maintenant à Philadelphie.
Cependant, l’échange de Carmelo Anthony contre Enes Kanter, Doug McDermott et un choix dans le deuxième tour du repêchage, est le plus intéressant. Carmelo Anthony est resté l’un des meilleurs joueurs de la ligue, même condamné à rester avec les Knicks de New York (qui font partie des pires équipes des dix dernières années). Par contre, beaucoup de personnes croient que c’est de sa faute s’il s’est trouvé « coincé » avec les Knicks à cause d’un contrat signé avec les Knicks en 2014 disant qu’il devait rester avec eux pendant cinq ans.
Les problèmes entre Carmelo Anthony et le président du club Phil Jackson (un ancien entraineur qui a gagné de nombreux championnats à Chicago et à Los Angeles) étaient très connus. Il existait une clause contractuelle dans le contrat d’Anthony disant qu’il ne pouvait être échangé qu’avec sa permission. Phil Jackson ne cachait pas ses intentions et tout le monde savait qu’il voulait échanger Anthony. Cela a diminué le potentiel du retour de l’échange. Suite à certains incidents, Phil Jackson a été renvoyé.
Cela laisse toujours un gros détail à régler avant que la saison ne recommence : que faire à propos d’Anthony? Il ne voulait pas rester à New York, alors où pourrait-il être envoyé? Houston était une option qui semblait plaire à tous les partis. L’ami d’Anthony, Chris Paul, jouait pour cette équipe et cette dernière voulait justement ajouter un autre joueur étoile pour mieux rivaliser contre les Warriors de Golden State. Mais après de longues périodes de négociation, les deux équipes n’ont pas pu trouver un compromis. La gérance des Knicks voulait trouver une autre destination lorsque Oklahoma a montré un intérêt pour Carmelo. Alors, avec le consentement d’Anthony, les équipes ont effectué l’échange.
À présent, l’équipe d’Oklahoma est considérée comme l’une des meilleures dans la conférence de l’ouest. Menée par Russell Westbrook, Paul George et Carmelo Anthony, on peut dire qu’elle fait partie des meilleures équipes offensives de la ligue. Cependant, il y a tout de même des problèmes qui pourraient se produire lors du déroulement de la saison comme la possession du ballon, car les trois joueurs aiment avoir le ballon. L’équipe doit surpasser ces défis afin de pouvoir battre les Warriors. En regardant ces problèmes, on ne voit que des imperfections sur le tout et il semble qu’Oklahoma aura une très bonne saison cette année.
Cependant, l’échange de Carmelo Anthony contre Enes Kanter, Doug McDermott et un choix dans le deuxième tour du repêchage, est le plus intéressant. Carmelo Anthony est resté l’un des meilleurs joueurs de la ligue, même condamné à rester avec les Knicks de New York (qui font partie des pires équipes des dix dernières années). Par contre, beaucoup de personnes croient que c’est de sa faute s’il s’est trouvé « coincé » avec les Knicks à cause d’un contrat signé avec les Knicks en 2014 disant qu’il devait rester avec eux pendant cinq ans.
Les problèmes entre Carmelo Anthony et le président du club Phil Jackson (un ancien entraineur qui a gagné de nombreux championnats à Chicago et à Los Angeles) étaient très connus. Il existait une clause contractuelle dans le contrat d’Anthony disant qu’il ne pouvait être échangé qu’avec sa permission. Phil Jackson ne cachait pas ses intentions et tout le monde savait qu’il voulait échanger Anthony. Cela a diminué le potentiel du retour de l’échange. Suite à certains incidents, Phil Jackson a été renvoyé.
Cela laisse toujours un gros détail à régler avant que la saison ne recommence : que faire à propos d’Anthony? Il ne voulait pas rester à New York, alors où pourrait-il être envoyé? Houston était une option qui semblait plaire à tous les partis. L’ami d’Anthony, Chris Paul, jouait pour cette équipe et cette dernière voulait justement ajouter un autre joueur étoile pour mieux rivaliser contre les Warriors de Golden State. Mais après de longues périodes de négociation, les deux équipes n’ont pas pu trouver un compromis. La gérance des Knicks voulait trouver une autre destination lorsque Oklahoma a montré un intérêt pour Carmelo. Alors, avec le consentement d’Anthony, les équipes ont effectué l’échange.
À présent, l’équipe d’Oklahoma est considérée comme l’une des meilleures dans la conférence de l’ouest. Menée par Russell Westbrook, Paul George et Carmelo Anthony, on peut dire qu’elle fait partie des meilleures équipes offensives de la ligue. Cependant, il y a tout de même des problèmes qui pourraient se produire lors du déroulement de la saison comme la possession du ballon, car les trois joueurs aiment avoir le ballon. L’équipe doit surpasser ces défis afin de pouvoir battre les Warriors. En regardant ces problèmes, on ne voit que des imperfections sur le tout et il semble qu’Oklahoma aura une très bonne saison cette année.
La rivalité des finales de la NBA continue
Akram Abdi
Juin 2017
Juin 2017
Cette édition de la finale de la NBA nous a permis de regarder le match très attendu entre les Golden State Warriors, guidé par leurs quatre meilleurs joueurs ou le « big four » : Steph Curry (gagnant du MVP), Klay Thompson (le spécialiste des buts valant trois points), Draymond Green (l’un des meilleurs joueurs défenseurs de l'année) et Kevin Durant (l'ancien MVP). Ils jouaient contre les Cavaliers de Cleveland, menés par LeBron James, Kyrie Irving et Kevin Love ; leurs nouveaux joueurs : Kyle Korver et Deron Williams ; ainsi que les piliers JR Smith et Tristan Thompson.
C'est la troisième année consécutive que les deux équipes font face lors de la finale de la NBA avec Golden State qui l’a remporté pour la première fois en 2015 et les Cavaliers, revenant d'un déficit de 3-1 pour remporter le championnat l'année dernière. Cette fois-ci, les Warriors étaient les favoris des amateurs pour avoir gagné beaucoup de match, grâce à leur acquisition de Kevin Durant. Kevin Durant a été critiqué pour avoir décidé de se joindre à l’équipe du Golden State, ayant remporté un record de 73 matchs l’an dernier, et surtout après la terrible défaite de son ancienne équipe contre le Golden State l'année précédente. Il a cependant ignoré les critiques et a été le meilleur joueur de l'équipe finaliste.
La majorité des supporteurs de la NBA n’ont pas apprécié les séries éliminatoires de la saison, surtout à cause du fait que les deux équipes finalistes n’avaient que subit une perte. Quelques matchs des séries éliminatoires avaient les plus grandes marges de victoire de l'histoire de la ligue. Cependant, ce match était attendu dès que Cleveland a remporté le championnat après avoir remporté les trois derniers matchs de la saison pour gagner le titre 2016.
Les deux premiers matchs de la série étaient semblables à ceux de l'année dernière. Golden State, dirigé par Kevin Durant, a gagné les deux matchs avec une avance de plus de 15 points. LeBron n’avait pas eu beaucoup d’aide de ses coéquipiers, parce qu’ils n’ont pas bien joué. Les exemples les plus remarquables ont été JR Smith : qui a eu trois points seulement dans les deux premiers matchs et Tristan Thompson : qui a été largement inefficace et qui a ramassé moins de rebonds que Steph Curry dans le second match. Les cavaliers ont mieux joué dans le troisième match avec la contribution de plusieurs membres de l'équipe, mais les Warriors ont tout donné et se sont poussés à fons en vue de gagner le titre.
Les Warriors perdaient de six points dans les trois dernières minutes, mais avec une bonne défense et un tir d’une valeur de trois points par Kevin Durant, l'équipe de Oakland a pu gagner le troisième match. Les cavaliers étaient dans une position difficile. Aucune équipe de basketball n’a gagné la série après avoir perdu les trois premiers matchs.
Les Cavaliers ont gagné le quatrième match avec un record de finales de la NBA de 86 points avant la mi-temps. Cependant, les Warriors étaient imbattables. Ils ont gagné le cinquième match et ont été couronnés les champions de la NBA. Kevin Durant a été le meilleur joueur de la série (bien que LeBron James ne soit pas bien loin) et a remporté le MVP de la finale.
Avec ces deux équipes qui sont les plus fortes de la ligue, ne soyez pas surpris s'il y a une quatrième rencontre l'année prochaine.
Les finales de la Coupe Stanley se sont déroulées du 29 mai 2017 au 11 juin 2017. Les deux équipes qui ont participé au face à face sont les Prédateurs de Nashville et les Pingouins de Pittsburgh et ces derniers ont remporté la Coupe. Des six matchs de la série, trois d’entre eux se sont déroulés à Nashville et les autres à Pittsburgh.
Chaque année, la LNH tient des séries éliminatoires pour la Coupe Stanley. La dernière ronde est la Finale de la Coupe Stanley et c’est où deux sur les 16 équipes participantes des séries éliminatoires se rencontrent dans une série du meilleur face à face sur sept matchs. Les Pingouins ont gagné quatre matchs et les Prédateurs, deux.
Pittsburgh a commencé les séries éliminatoires en remportant leur première série contre les Vestes Bleues (quatre à un). Puis, ils ont remporté leurs séries contre Washington et Ottawa en sept joutes. Ensuite, ils se sont rendus aux finales.
Nashville a commencé leurs séries éliminatoires avec une victoire choquante contre Chicago, la meilleure équipe de la conférence de l’Ouest, en quatre matchs. Après cette série ils ont fait face à St Louis, qu’ils ont battu en six matchs et par la suite, ils ont battu Anaheim en sept matchs. C’était la première fois que Nashville se rendait en finale. Pour Pittsburgh, c’était la sixième fois et leur deuxième année consécutive.
Lors des finales, Pittsburgh a remporté les deux premiers matchs, et Nashville, les deux prochains. Puis Pittsburgh a gagné le cinquième et sixième match, et a remporté la Coupe Stanley. Le Copropriétaire des Pingouins, Mario Lemieux, a dit : « Il n’est jamais ennuyant de gagner la Coupe, mais c’est toujours difficile. »
La raison pour laquelle Pittsburgh a eu un si grand succès auprès des séries éliminatoires cette année était grâce à leur esprit et travail d’équipe. Les efforts combinés de Jake Guentzel, Sidney Crosby, Evgeni Malkin, Marc-André Fleury et Matt Murray leur ont donné l’avantage sur l’autre équipe. Murray et Fleury ont arrêté la majorité des tirs et Guentzel, Crosby et Malkin ont dominé l’offensive, ce qui explique pourquoi Pittsburgh a pu gagner la coupe deux années de suite.
Pour les Raptors de Toronto, les séries éliminatoires de la ANB de 2017 ont débuté le samedi 15 avril lors de leur série contre les Milwaukee Bucks et se sont terminées le dimanche 7 mai contre les Cavaliers de Cleveland. Les Raptors ont joué en tout dix joutes, cinq à Toronto, trois à Milwaukee et deux à Cleveland.
Parmi les dix matchs qu’ils ont joués dans les séries éliminatoires, ils n’en ont remporté que quatre. Suite à leur élimination, les Raptors ont reçu beaucoup de critiques négatives. Ils ont battu les Milwaukee Bucks lors de leur série du meilleur face à face sur sept, 4 à 2. Avant la série suivante, où ils allaient faire face aux Cavaliers de Cleveland, beaucoup de supporteurs des Raptors avaient leurs doutes. Leurs peurs se sont réalisées, car les Raptors ont été rapidement éliminés par Cleveland. Ils ont perdu leur série du meilleur face à face sur sept, 4 à 0.
Pour une saison régulière où les Raptors ont gagné 51 de leurs 82 matchs, leurs séries éliminatoires n’ont pas été assez longues. L’entraineur des Raptors, Dwane Casey, a cependant déclaré qu’il était content de leur performance lors de leur dernier match : « J’ai pensé que nos gars avaient joué avec courage, ténacité et unité ». Les Raptors ont encore beaucoup de changements à faire avant la saison prochaine ; les partisans et la ligue verront ce que le gérant, Masai Ujiri, fera avec son équipe.
Une des causes principales de la défaite des Raptors a été l’ailier de Cleveland, LeBron James, qui a eu une moyenne de 36 points par match lors de la série et qui avait un pourcentage de tir de 48 %. Mais il n’y avait pas que James : il y avait aussi l’arrière, Kyle Korver, et le meneur, Kyrie Irving, qui ont beaucoup contribué à l’offensive des Cavaliers.
Vers la fin du dernier match de la série, Irving a marqué 11 points et pendant cette période, l’équipe de Toronto n’en a marqué que deux. Par conséquent, les Cavaliers feront face aux Celtiques de Boston dans les finales de la conférence de l’Est et les Raptors n’ont plus qu’à attendre l’année prochaine pour réessayer de remporter le championnat.
Les élèves du Collège français aiment beaucoup le sport. Ceci est bien évident après avoir vu le nombre d’élèves présents au le gymnase pendant l’heure du diner. Des dizaines d’élèves jouent au basket-ball et au soccer aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. L’école a toujours eu des clubs masculins de basket-ball et de soccer. Par contre, il n’y avait pas d’équipes féminines ces dernières années et on sentait un malaise au sein des élèves qui ne comprenaient pas pourquoi elles n’avaient pas la possibilité de participer à des compétitions.
Suite à la demande de certaines filles, une équipe féminine de volleyball a vu le jour au mois de décembre et on pouvait voir la joie et l’excitation parmi les membres de la nouvelle équipe. L’enseignante d’éducation physique, Mme Chénier, a, malgré un emploi du temps très chargé, contribué à la réalisation de ce projet. « C’est bien qu’il y ait un maintenant une équipe sportive pour les filles ! » dit un membre du club.
Les pratiques se font tous les mardis et jeudis. Les filles n’ont pas encore eu l’occasion de participer à des tournois mais espèrent le faire bientôt. Peut-être que le succès de ce club motivera beaucoup de filles à participer et poussera à la création d’autres équipes féminines dans les autres sports.
Suite à la demande de certaines filles, une équipe féminine de volleyball a vu le jour au mois de décembre et on pouvait voir la joie et l’excitation parmi les membres de la nouvelle équipe. L’enseignante d’éducation physique, Mme Chénier, a, malgré un emploi du temps très chargé, contribué à la réalisation de ce projet. « C’est bien qu’il y ait un maintenant une équipe sportive pour les filles ! » dit un membre du club.
Les pratiques se font tous les mardis et jeudis. Les filles n’ont pas encore eu l’occasion de participer à des tournois mais espèrent le faire bientôt. Peut-être que le succès de ce club motivera beaucoup de filles à participer et poussera à la création d’autres équipes féminines dans les autres sports.
LES ACQUISITIONS DES RAPTORS DE TORONTO - BASKETBALLOlivier Dundas
Avril 2017 Le 14 février 2017, l’équipe de basketball des Raptors de Toronto a acquis en ailier fort Serge Ibaka de l’équipe des Orlando Magic, en échange de l’ailier Terrence Ross et de leur choix de première ronde au repêchage de 2017. Neuf jours plus tard, le 23 février 2017, les Raptors ont acquis l’ailier PJ Tucker, de l’équipe des Suns de Phénix, en retour de Jared Sullinger et de deux choix de deuxième ronde. Du 15 janvier au 14 février, les Raptors ont perdu onze matchs sur dix-sept, et ont laissé passer 1781 points marqués contre eux, ce qui est en moyenne 105 points par match. Dans cette période, ils ont marqué 1756 points, soit, en moyenne, 103 points par match. Même s’ils ont seulement perdu avec une moyenne de 2 points, ils ont quand même perdu onze matchs sur dix-sept. Leur moyenne lors de la saison est de 107 points marqués par match et de 105 points marqués contre eux. Après une défaite contre les Celtiques de Boston, le meneur de Toronto, Kyle Lowry, a dit « quelque chose doit changer », ce qui sous-entend qu’un changement dans la défense de l’équipe était crucial à leur réussite. Par conséquent, le directeur général des Raptors, Masai Ujiri, a décidé d’acquérir Serge Ibaka, un joueur en 10e place dans la ANB avec une moyenne de 1,6 contres par match (et, avant cette saison, une moyenne de 2,6). Cela démontre que c’est un défendant agressif. Masai Ujiri n’avait pas fini avec cette acquisition, car neuf jours plus tard, il a acquis PJ Tucker, dont la moyenne de 0,2 contres par match n’est pas très élevée, mais qui défend avec beaucoup d’énergie et qui est décrit comme un leader sur le terrain de basket. Il a une moyenne de 5,8 rebonds par match et la majorité de ces rebonds sont des rebonds défensifs. Non seulement Tucker et Ibaka contribuent-ils à la défense, mais ils contribuent aussi à l’attaque. Ibaka a une moyenne de 14,9 points par match et Tucker une moyenne de 5,8 points par match, ce qui correspond à une moyenne de 20,7 points combinés par match. Masai Ujiri a fait ces échanges en février, car il trouvait que les Raptors avaient besoin d’une meilleure défense. Les résultats se voient déjà : depuis l’acquisition d’Ibaka et Tucker, ils ont gagné 16 matchs et ont perdu 7 matchs. Dans ces 23 matchs, ils ont marqué 2355 points (moyenne de 102 points par match) et ils ont laissé 2289 points marqués contre (99 points par match en moyenne). Depuis l’arrivée de Ibaka et de Tucker, leur défense s’est améliorée de 6 points et ils sont maintenant en 10e place pour la meilleure défense et en 10e place pour la meilleure attaque de la ligue. Les Raptors sont en 6e place dans la ligue et cherchent à aller loin dans les séries éliminatoires et à gagner un championnat. |
ILS SAVENT CE À QUOI ILS DEVRONT FAIRE FACE - BASKETBALLRichard DaCosta
Avril 2017 Ils savent ce à quoi ils devront faire face : les pièges, la pression et la douleur, mais les Toronto Raptors savent aussi que les séries éliminatoires de la ANB sont à leur sujet plutôt que par leur jeu ou quand. «Nous le jouons et tout ce qui se passe, se passe », déclare le gardien Kyle Lowry. «Ne vous souciez pas de contre qui nous jouons et d'où nous jouons. Nous devons simplement aller jouer ». Les Raptors ont découvert l'avant-dernière nuit de la saison régulière qu'ils affronteraient les Milwaukee Bucks au premier tour de la meilleure des sept premières joutes qui aura lieu ce week-end. Le coup d'envoi d’Atlanta aux 103-76 de Charlotte Hornets s'est assuré de ce match et donne à Atlanta une première journée avec les Wizards de Washington. Cependant, le «quand» de la série reste un mystère. La seule chose qui peut être connue avec un certain niveau de certitude est que le deuxième jeu se déroulera mardi soir au Centre Air Canada. Lorsqu'ils découvriront ce à quoi ils devront faire face, les Raptors pourront se préparer à un broyage puisqu'ils se souviennent des séries éliminatoires de 20 matchs en 2016 et des leçons tirées lors des finales de la conférence. «L'adversité, combien il est difficile d'arriver à ce point », a rappelé DeMar DeRozan. «Si vous n'avez jamais été à ce point, vous ne comprenez vraiment pas combien c'est difficile. Nous avons fait face à cela dans chaque tour dans lequel nous étions. Nous avions deux séries de sept jeux, nous avons joué à Cleveland six matchs et nous avons perdu contre eux et c'était difficile, alors nous avons appris de manière difficile ». Les Raptors devraient utiliser tous leurs joueurs réguliers d’ici la finale de la saison de mercredi, bien que cela soit toujours un sujet changeant. L'entraîneur Dwane Casey a été inflexible pendant des semaines. Il estime que l'équipe a besoin d’un rythme de jeu plus rigoureux pour rester réveillé plutôt que des nuits entières. Il peut déployer des gens comme DeRozan, Lowry, Jonas Valanciunas et Serge Ibaka pour un temps limité, mais ils devraient tous jouer un peu. DeRozan se sent complètement reposé de toute façon : «Je me suis reposé quand je me suis blessé à la cheville, j'ai manqué quelques matchs et cela m'a aidé à me remettre sur pied […] Vous ne pouvez vraiment pas réfléchir au repos en ce moment, il s'agit de la vraie affaire », a-t-il déclaré en faisant référence à son absence de six matchs causée par sa blessure à la cheville. Les Cavaliers, quant à eux, prennent exactement la voie opposée. LeBron James et Kyrie Irving ont assisté à un échec lundi à Miami et les rapports de Cleveland déclarent que James va prendre mercredi aussi. Le statut d'Irving n'est pas clair, tout comme celui de Tristan Thompson, qui a manqué trois matchs avec une blessure au pouce. Les Raptors, en attendant, savent que le grincement des séries éliminatoires est autant une chose mentale que physique, peu importe ce qui se passe à la 82e joute de mercredi. «En montant le sommet de la montagne, vous devez certainement être verrouillé à chaque étape », déclare DeRoza, «Comprendre que ce ne sera pas une issue facile. Il y aura des chocs routiers et ça va être difficile, mais il faut apprendre comment se battre, comment les surmonter et l'emporter par jeu ». |